Notre positionnement

Une sensibilité à l’économie environnementale

Le métier de consultants tels que nous l’entendons peut se résumer en quelques mots :
Écoute, compréhension, recherche, analyse, restitution, action, innovation, créativité, soutenabilité et valorisation.

Être consultant, c’est être à l’extérieur. C’est écouter et comprendre la problématique du client. C’est aller chercher les informations adéquates chez d’autres personnes, en faire l’analyse et la restituer au client de façon claire. Ce rendu aide à la décision, à l’action. Disons le clairement. Un consultant ne connaît pas la réponse à priori à un problème. Il sait juste comment faire pour y répondre. En fonction de ses intérêts et de sa sensibilité au sujet à traiter. En fonction d’une méthode qui s’affine perpétuellement. La plus valu de Consultants Naturels, SCOP, c’est une sensibilité forte aux enjeux environnementaux, économiques et sociaux.

Une entreprise doit être rentable et créer de la valeur. La valeur ne se mesure pas qu’au chiffre d’affaire, mais bien à la qualité des produits, des services et à l’épanouissement des employés. L’entreprise se démarque par l’innovation, une innovation soutenable. Extraire des savoirs faire ancien pour les adapter économiquement aux problématiques actuelles (alimentation, logement, emplois, transports, déchets, énergie, solidarité).

Consultants naturels propose une vision sensible de l’économie environnementale. C’est de l’intelligence émotionnelle au service de l’homme, de sa santé et de l’environnement. Une logique centrée sur l’homme et son épanouissement par une économie à son service. Cette question de l’émotion est pour nous centrale. Nous savons et le disons clairement: nous ne pourrons pas valoriser une démarche dans laquelle nous ne trouvons pas d’intérêt. Nous ne savons pas faire semblant. Mais quand nous y croyons, nous remuons ciel et terre pour nos clients.

L’intelligence collective.

Tout le monde sait quelque chose. Personne ne sait tout. C’est dans l’échange et la coopération que nous faisons émerger les solutions. C’est la définition de l’intelligence collective.

En d’autres termes et appliqué à notre métier, un client sait des choses sur son métier, sur son domaine, mais ils ne sait pas tout et a besoin régulièrement d’étendre sa connaissance, afin de faire évoluer sa société en faisant émerger des solutions concrètes. C’est à ce moment précis qu’il peut faire appel à des personnes extérieures, des consultants. Ces mêmes consultants savent des choses, possèdent une méthodologie qui leur est propre, mais ils ne savent pas tout non plus. Ils vont chercher eux-mêmes à se renseigner, lire, apprendre, analyser afin de restituer cet ensemble nouveau à leurs clients. L’échange devient ainsi prolixe puisqu’il met en lien des connaissances et des savoir-faire distincts.

Tout re-partira d’en bas

Selon Jeremy Rifkins, l’histoire prend le chemin d’un avènement d’une nouvelle économie, fondée sur le mariage entre Internet et les énergies nouvelles. Selon lui, les changements économiques et sociaux proviennent toujours d’une rencontre entre nouvelle énergie et nouveau mode de communication. Les différentes révolutions énergétiques que nous avons connues depuis le XIXe siècle ont coïncidé avec l’avènement de nouveaux modes de communication, à commencer par le développement de la presse écrite grâce à la vapeur. Le XXe siècle a marqué notre entrée dans la société de la consommation avec la convergence entre électricité, téléphone, radio et télévision. Mais cette deuxième révolution s’effrite. Les énergies fossiles s’épuisent. Les systèmes de production et de distribution d’énergie sont centralisés. La privatisation de biens communs, d’idées et du vivant est un état d’esprit qui génèrent de la compétition. Une compétition dont les gagnants sont bien moins nombreux que les perdants.

Internet a permis et permet toujours plus de partage des connaissances. L’intelligence collective devient une force contre laquelle certaines activités économiques luttent toujours, au lieu de jouer la collaboration, qui est un modèle de développement en soi. L’open source en informatique et en électronique offrent des outils de création et de production aussi crédibles que les mêmes outils développés par le secteur privés. La production d’énergie se décentralisent peu à peu au niveau de chaque maison, de chaque bureau, qui deviennent autant de micro-usines. La production alimentaire et ses circuits de distributions reviennent à des tailles humaines et s’affranchissent autant que possibles des intermédiaires aux pratiques inéquitables.

L’économie bleue

Il s’agit d’un modèle économique qui incite à utiliser ce qui est localement disponible, qui ne produit pas d’effets secondaires tels émissions et déchets et qui, au lieu de coûter plus cher, assura la compétitivité et l’augmentation de la productivité tout en créant des emplois et une meilleure cohésion sociale. Qu’on se le dise. Ceci est une vision qui oriente notre réflexion et nos actions.

L’économie bleue cherche la régénération, au delà donc de la préservation et de la conservation; elle ne recycle pas, elle régénère. D’une certaine façon, l’Economie BLEUE consiste à s’assurer qu’un écosystème maintient ses règles évolutives afin que nous puissions bénéficier du flux infini de la Nature en matière de réativité, d’adaptabilité et d’abondance.

Cette approche est le résultat de travaux de la Fondation ZERI (Zero Emission Research and Initiatives), soit Recherche et Inititatives pour Zéro Pollution), créée au Japon après des années de recherches à L’Université des Nations Unies et avec la collaboration du PNUD ( Programme de Développement des Nations Unies). Elle a pour seul objectif la mise en place de projets pionniers démontrant qu’un tel modèle de production et de consommation est techniquement possible et économiquement viable.”